Bibliographie

Quelques mots sur Maud FAUVEL...


Ayant étudié l’Histoire, Maud FAUVEL s’intéresse à l’archéologie et a fait son mémoire de Maîtrise d’histoire et d’archéologie médiévale à l’Université de Caen sur le château de Valognes de ses origines à sa démolition, intitulé « Le château de Valognes, étude d’un lieu de pouvoir en Cotentin » (Université de Caen, 2001).

Elle a commencé des recherches sur « Le cheval en Normandie au Moyen-âge » en 2004.

Pigiste à la Presse de la Manche, auteur de quelques nouvelles non publiées, elle a également écrit une originale autobiographie connue de quelques initiés…

Elle aime les bandes dessinées, le jonglage, les animaux, la moto et la musique (trompette notamment). "Jeune" écrivain née en 1977, elle ne supporte pas le mot « écrivaine », ni « auteure », mots non seulement bannis mais honnis de son vocabulaire, malgré les galopades ambiantes de certaines plumes !

Détail intéressant, elle habite l’ancienne demeure du « Connétable des Lettres » à Valognes, l’hôtel de Grandval-Caligny qu’elle fait visiter occasionnellement aux amis de l’écrivain et des belles pierres… Actuellement, elle mène un grand projet culturel pour sauver l'Hôtel Grandval-Caligny d'un morcellement possible en cas de vente à un particulier de la partie sur jardin qui signifierait la fin des visites guidées, elle oeuvre au maintien du souvenir du grand écrivain Barbey d'Aurevilly comme le faisaient ses grands-parents et souhaite développer en ce lieu de beaux projets à visée philanthropiques et éthiques concernant le droit animal (www.facebook.com/lesprintempsdegrandvalcaligny)


Petite nièce d’André FAUVEL, prêtre normand qui fut évêque de Quimper de 1947 à 1968, Maud FAUVEL prépare depuis plus de quinze ans un ouvrage sur la vie de ce dernier.

Après avoir œuvré pendant un an pour le compte de la commune de Saint-Sauveur-le-Vicomte Saint-Sauveur-le-Vicomte, une page d’histoires de 1900 à 2000 (éditions Corlet, 2006),

elle a publié en 2008, à compte d’auteur, un petit ouvrage sur Barbey d’Aurevilly et ses liens à Grandval : Jules Barbey d’Aurevilly et l’Hôtel de Grandval-Caligny (éditions Plume de feux, 2008). L’hôtel de Grandval-Caligny est cet hôtel particulier de Valognes où il descendit plusieurs fois par an pendant les quinze dernières années de sa vie.

En 2011, elle commence un livre sur le thème, si cher à son cœur, des animaux. Il est paru aux éditions Plume de feux et a pour titre Requiem pour un nouveau monde, hommes et animaux essai sur un mieux-vivre ensemble.

En 2013, paraît Le Jeune Prêtre, un roman réaliste sur l'Eglise et la Société contemporaine.

En 2014, elle participe à un ouvrage collectif des Auteurs en Cotentin sur la Seconde guerre mondiale Cet été-là...1944: Nouvelles, récits et témoignages en publiant une nouvelle intitulée Drei Marks sur les Malgré-Nous, ces oubliés alsaciens...

En 2015, elle publie deux ouvrages, l'un sur le Cotentin si cher à son coeur, intitulé Tranches de Vies, l'autre en manière de petit roman policier avec des animaux comme héros, Le Festival des hirondelles.

En 2016, elle participe à un ouvrage collectif sur des expressions "énigmatiques", Comme on dit...

En 2018, elle publie une nouvelle originale intitulée Le Cheval du Mongol dans un ouvrage collectif des Auteurs en Cotentin sur la guerre de 1914-1918: Des histoires au coeur de l'Histoire: 14-18 récits et témoignages

et participe à un autre ouvrage collectif sous la direction de Jean-Luc DRON qui devrait paraître cet l'automne.


L'Hôtel de Grandval-Caligny file le temps en pays valognais

L’Hôtel de GRANDVAL-CALIGNY 
file le temps en pays valognais

Un petit hôtel particulier dans son écrin de verdure qui se découvre en avril, même d’un fil, tel est l’Hôtel de Grandval-Caligny si cher à Jules Barbey d’Aurevilly et aux amateurs de belles pierres.

La demeure privée ouvre régulièrement ses portes au public s’intéressant à l’écrivain du XIXe siècle ou désireux de connaître la vie des habitants des XVIIe et XVIIIe siècles. A l’automne, les désormais traditionnelles « Journées du Patrimoine » rencontrent en général un franc succès. Dans l’année, groupes ou touristes isolés peuvent s’y ressourcer le temps d’une visite guidée. Si, pour l’instant, les visites sont un peu vécues comme un privilège, eût égard au fait que c’est surtout le bouche à oreille qui fonctionne, le but est de continuer à proposer des événements culturels au cours des années à venir, et pourquoi pas, de développer de nouveaux projets.
Récemment, une opération « porte ouverte » était proposée par quatre jeunes de la Maison familiale et rurale (MFR) au profit des « Enfants de Kara », une association valognaise qui vient en aide aux enfants d’une ville du Togo.

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article deuxième

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